PHARMACEUTIQUES, partenaire de la FNIM, vous propose de participer gratuitement à la Web-Conférence « Femmes : pour une santé dédiée … et augmentée ! »
Le Jeudi 28 Mars 2024, de 09h00 à 12h00, en distanciel
PROGRAMME :
9h00 : Ouverture Pierre SANCHEZ, Directeur de Pharmaceutiques
9h05 – 9h25 : Introduction Discriminer… pour une santé plus équitable
Seulement 3% des dépenses de R&D de l’industrie pharmaceutique sont consacrées à la santé féminine. Sous -ou non- représentées dans les études cliniques, les femmes souffrent également d’indicateurs cliniques défavorables dans plusieurs pathologies chroniques à défaut d’approches thérapeutiques adaptées. Faut-il discriminer positivement la santé en faveur des femmes, pour une meilleure équité face aux risques ?
9h30 – 10h20 : Table-ronde 1 Endométriose : de la mobilisation à l’action. Quels progrès, quels défis ?
« En France, près de 2 millions de femmes adultes sont susceptibles de se demander si une endométriose est à l’origine de leurs douleurs pelviennes chroniques. Mais le diagnostic de cette maladie, responsable d’infertilité et dont l’impact sur la qualité de vie peut être très lourd, est parfois difficile » rappelle la Haute Autorité de santé. Où en est-on après la mobilisation politique ? Comment améliorer le diagnostic pour une prise en charge plus précoce ? Et aussi comment concilier travail et endométriose ?
10h25 – 11h10 : Table-ronde 2 Ménopause : déstigmatiser, dédramatiser… mieux soigner
Deux tiers des femmes souffriraient de troubles au moment de la ménopause, certains très invalidants. De nouveaux traitements qui ne sont pas hormonaux devraient arriver prochainement. Comment agissent-ils ? Et au-delà, comment changer l’image de ce syndrome trop souvent dévalorisant ?
11h15 – 12h00 Table ronde 3 Cancer et Signatures génétiques : les avancées dans le cancer du sein
La HAS a actualisé la population éligible à l’utilisation des signatures génomiques après avoir reconnu en 2019 l’intérêt potentiel des signatures génomiques comme outils complémentaires d’aide à la décision d’administrer une chimiothérapie adjuvante, chez les femmes atteintes de cancer du sein dont les critères clinico–pathologiques habituellement utilisés laissent une incertitude concernant le risque de récidive. A quoi correspond cette actualisation ? Quelles conséquences en pratique ?
Ont déjà confirmé :
Axelle AYAD, Patiente chronique, Présidente fondatrice de « MaPatho »
Florence CHAPPERT, Responsable projet « Genre, égalité, santé et conditions de travail » à l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact)
Dr Florence LEREBOURS, Oncologue médical, Institut Curie-Saint Cloud
Pr Philippe DESCAMPS, Chef de service Gynéco-Obstétrique, CHU d’Angers, President de la filière Endoref Pays de Loire
Sophie KUNE, Créatrice de @menopause.stories et autrice de « Ménopausée et libre ! »
Dr Brigitte LETOMBE, Gynécologue, auteure de « Femmes, réveillez-vous ! » aux Editions First
Françoise NICOLE-KREMER, Présidente de l’Association « Femmes pour Toujours »
Muriel SALLE, Historienne spécialisée dans l’histoire des femmes et questions de genre en santé, Faculté de médecine et Sciences-Po Lyon
Stéphane VIRY, Député des Vosges, Membre de la commission des affaires sociales
Dr Sonia ZILBERMAN, Chirurgienne spécialisée en chirurgie carcinologique et onco-plastique, Coordinatrice du Centre du Sein de l’Est Parisien, Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon
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